Le référendum sur la Constitution européenne place tous les socialistes dans une position difficile.
Les partisans du "oui" auront bien du mal à convaincre les Français qu’ils défendent un projet européen de gauche radicalement opposé à celui de la droite libérale, tout en faisant la même apologie du même traité européen. Ils seront du côté du gouvernement Raffarin et contre ATAC, avec le MEDEF et contre la CGT : pas facile ! Les partisans du "non" vivront douloureusement la contradiction entre leur devoir de vérité et leur attachement à l’unité des socialistes — entre la loyauté due à leur parti et la loyauté envers les associations et syndicats, dans lesquels nos statuts leur font obligation de militer et qui, pour la plupart, sont déjà en campagne pour le "non".
Dans cette adversité commune, faisons l’addition de nos intelligences, pour en sortir collectivement plus forts, plutôt que la soustraction de nos chamailleries qui nous entraînerait dans le cercle vicieux de la division. Je t’écris aujourd’hui précisément pour te demander d’enrayer ce cercle vicieux où risquent de nous engluer les menaces ou les injonctions disciplinaires à l’encontre des partisan "non"; qui persistent à exprimer leur choix.
Que la direction rappelle qu’il n’y a qu’une seule campagne du parti socialiste est nécessaire et légitime. Cela découle de notre référendum interne dont personne ne conteste le résultat. Mais, dans un parti démocratique comme le nôtre, même une majorité de 99 % ne saurait diriger la conscience des 1 % minoritaires, ni bâillonner la parole qu’ils expriment à titre personnel. A fortiori, personne ne contraindra au silence les 42 % de militants qui souhaitent la victoire du "non". Au lieu de nous disputer, au plus grand bénéfice de la droite, et au détriment des Français qui comptent sur nous pour incarner une alternative, convenons plutôt de nous respecter mutuellement. Ne dramatisons pas notre divergence stratégique sur le référendum, au risque d’occulter notre convergence unanime sur un projet d’Europe politique et sociale radicalement opposé à l’Europe espace de libre-échange voulue par la droite. Que les partisans du non évitent de hurler à la persécution, dès que leur position suscite l’agacement bien compréhensible de quelques camarades. Et que les partisans du oui ne crient pas à la trahison là où ne s’exprime que la loyauté de militants envers leur idéal socialiste.
Je pressens ici ton objection : même si notre différend n’est que stratégique, il a été tranché par le vote des militants, et la loyauté envers le parti exigerait qu’aucun d’entre nous ne contrarie publiquement la stratégie ainsi arrêtée. Cette objection, selon moi, méconnaît la nature du scrutin à venir, et simplifie abusivement la question complexe de la loyauté.
En juin prochain, nous n’allons pas voter pour ou contre des candidats socialistes, pour ou contre un programme socialiste : nous jugeons un traité constitutionnel adopté par une écrasante majorité de gouvernements de droite. Un socialiste qui, au nom de l’Europe sociale, fait campagne contre ce traité libéral ne porte donc aucun préjudice à son parti. Ses seuls adversaires sont la droite et les anti-européens, ses seules critiques sont contre l’Europe du dumping social et des délocalisations, contre le souverainisme conjoint des libéraux, des fascistes et des nationalistes qui refusent l’Europe fédérale. S’agit-il là d’une offense au parti ? Ce socialiste manifeste le plus haut degré d’engagement pro-européen en exigeant une vraie Constitution démocratique donnant aux élus européens le pouvoir d'orienter les politiques de l’Union. Ce militant, enfin, contribue à convaincre les électeurs que les socialistes se font de l’Europe une idée vraiment opposée à celle de la droite — conviction vacillante dans une Union qui fut, il y a peu, dirigée par une large majorité de gouvernements de gauche, sans que cela n’altère le dévoiement progressif de l’Union en espace de guerre économique.
Nulle trahison donc ! Le partisan du "non" est bien, comme son camarade partisan du oui, en campagne pour une Europe fédérale et sociale, contre la droite et le modèle européen anti-social et anti-fédéral. Mais il prend un chemin plus confortable qui consiste à manifester son opposition à la droite en appelant à voter contre elle. Saluons le courage de ceux qui assument la tâche plus délicate de combattre la droite en appelant à voter comme elle, convenons que telle est l’unique stratégie retenue par le parti, mais ne boudons pas l’appoint d'une stratégie minoritaire dont l’effet de nuisance sur la droite est assurément moins aléatoire.
En nous respectant les uns les autres, nous additionnons nos "oui" et nos "non" en sorte que, quelle que soit l’issue du scrutin, les Français retiennent que nous sommes pour l’Europe sociale et contre l’Europe libérale. Le "non" vigoureux d’une minorité socialiste et la compréhension bienveillante de la majorité montreront aux électeurs que le "oui" des socialistes n’a rien à voir avec celui de Chirac et de Raffarin. Le respect mutuel mettra en lumière la double force de notre idéal européen : la force de votre "oui", malgré tout ce qui vous rebute dans ce traité, rappellera notre attachement irréductible à la construction européenne ; la détermination de notre "non", en dépit de notre irrésistible désir d’Europe, manifestera notre combat résolu contre le délitement du projet européen dans la société de marché.
La voie du respect mutuel est la seule raisonnable. Et tellement plus productive que celle des procès pour déloyauté ! Procès bien difficile à instruire et où les juges s’exposeraient à rendre des comptes. Car l’exigence de loyauté est tout sauf simple. En juin dernier, en tant que candidat aux élections européennes, j’ai fait campagne sur un projet qui exige, entre autres, la mise en place d’un salaire minimum européen, une harmonisation par le haut du droit social, l’extension de la majorité qualifiée aux questions fiscales, une Constitution révisable autrement qu’à l’unanimité, toutes dispositions explicitement exclues par le traité constitutionnel. En octobre 2003, en tant que membre du Conseil national du parti, j’ai voté comme tous les autres membres un texte présentant les mêmes exigences. En faisant aujourd’hui campagne pour une autre Constitution intégrant ces exigences, je suis loyal envers les engagements pris par mon parti devant les Français et à l’unanimité ! Ce faisant, je ne prétends pas que mes camarades partisans du oui sont déloyaux. Ils pensent que le meilleur moyen de faire valoir nos exigences serait de commencer par dire oui à un traité qui les rejette, pour obtenir ensuite une renégociation plus favorable. Je crois, pour ma part, que la seule façon de demander la renégociation de ce traité consiste à dire qu’en l’état, on n’en veut pas. Nous sommes tous loyaux à notre façon : ce n’est pas la même, parce qu’il n’y a jamais une seule façon de régler en conscience une question complexe.
Alors, défions-nous des procès en loyauté, et qui plus est à sens unique. Quand certaines figures éminentes de notre parti ont envisagé une alliance avec l’UDF, ou encore contredit notre condamnation unanime de la loi Fillon sur les retraites, il n’a jamais été question de les sanctionner. Un socialiste serait-il coupable de déloyauté seulement quand il prend des positions plus dures que son parti contre la droite libérale, et jamais quand il abonde dans le sens de nos adversaires ? Et qui au juste manque à la loyauté et mériterait d’être rappelé à l’ordre : celui qui écrit dans la presse son mépris pour ses camarades socialistes partisans du non, ou bien les partisans du non qui expriment partout leur respect pour la position de leur parti et prennent la défense de ce dernier contre tous ceux qui voudraient dénaturer le oui socialiste en collusion avec la droite ?
Je veux bien voir dans cette étrange asymétrie de traitement une simple et bénigne négligence. Mais il serait judicieux d’y mettre un terme en reconnaissant à tous une égale liberté d’expression ; sans quoi nos concitoyens, et plus particulièrement nos électeurs, viendraient à penser qu’elle n’a rien de bénin et manifeste plutôt une dérive centriste de notre parti. Un tel malentendu serait catastrophique, au moment où, par deux fois, les électeurs viennent de nous manifester un large soutien, précisément parce que nous étions en opposition frontale aux politiques de la droite.
Si je revendique donc la liberté d’expression, je ne revendique pas celle de faire n’importe quoi. Je ferai à titre personnel campagne pour le "non" à travers mes écrits et ma participation à des conférences. Mais je prendrai soin de rappeler à chaque intervention publique mon respect pour les partisans du oui, je refuserai d’être associé à quiconque profite de ce débat pour attaquer le parti socialiste, je quitterai ostensiblement toute manifestation qui prendrait mon parti pour cible. Telle est ma solution au dilemme de ma conscience qui me commande à la fois de combattre un traité qui détruit selon moi notre projet européen, et de préserver l’intégrité du parti socialiste, sans laquelle je ne vois aucun espoir pour une alternative progressiste au néolibéralisme. Et des milliers de socialistes feront de même, en phase avec le mouvement syndical, en phase avec les Français qui voudront, une fois encore, sanctionner l'autisme méprisant de Jacques Chirac.
Confronté à cette situation, en tant que premier secrétaire, tu détiens l'une des clefs qui peut ouvrir soit la voie de l’unité et de la victoire socialiste, soit la voie du déchirement et de l’échec. Tout mon argument, j’en conviens, repose sur un postulat : nous sommes tous socialistes et engagés dans la lutte contre le modèle néolibéral dominant en Europe, hormis quelques francs-tireurs qui jugent plus précieux d’adapter le socialisme aux exigences de la compétitivité que de soumettre les règles de la compétition aux exigences sociales. Ces derniers préféreraient sans doute un parti "godillot"excluant et décourageant les socialistes trop peu enclins aux compromis avec le libéralisme. Ne disloquons pas la troupe en laissant régner les francs-tireurs. Céder un tant soit peu à leur désir de rigueur disciplinaire brouillerait durablement l’image de notre parti dans l’esprit de nos concitoyens. Car il est certes présomptueux d’imaginer que les Français nous regardent, mais il est du moins avisé de comprendre qu’ils nous voient, décryptent nos signaux et en tirent les conséquences dans les urnes.
Quand nous apparaissons unis contre le libéralisme triomphant, nous incarnons l’alternative et préservons nos chances de la mettre en œuvre prochainement. Le seul moyen d’envoyer le signal qui préserve ces chances est d’assumer sereinement notre diversité de stratégies pour mettre en lumière l’unité de notre combat contre le néolibéralisme. Tel est le signal que je te demande d’adresser aujourd’hui aux Français.
Amitiés socialistes,
Jacques
LE LIVRE DE L'ANNEE?
MIGUEL MARTINEZ, LE NOUVEL AUTEUR DONT AUJOURD’HUI TOUT LE MONDE PARLE….
MAIS POURQUOI ?
La raison la plus logique, c’est qu’un livre faisant couler énormément d’encre ne peut être qu’un livre à lire. Alors nous aussi nous l’avons lu et nous avons compris pourquoi cette encre coule à flots. Nul doute, l’auteur encore inconnu hier maîtrise le sujet de son ouvrage par cœur . Son inquiétude pour demain est elle bel est bien fondée, puisque des plus réelle.
En effet, Passant de Madame et Messieurs Sarkozy à De Villepin, de Royal à Hollande, de Bayrou à Lang, de Jospin à Besancenot et bien d’autre, Miguel Martinez , l’auteur déclare que tous ces candidats à l’allure « propres » et au cassier judiciaire vierge sont tous les élèves et héritiers d’une ancienne élite qui elle est « sales ». Une élite de droite ou de gauche ayant participée aux nombreuses « affaires » durant les 25 dernières années.
Ou se trouve donc l’élu capable de reprendre la barre avec une main des plus ferme, mais possédant l’intégrité et les compétences à laquelle aujourd’hui aucun candidat ne peut prétendre ? Voilà ce que clame l’auteur de ce livre en se permettant d’offrir de plus, comme un véritable « cadeau », des conseils et des réformes à nos élus qui nous en sommes certain en prendront bonne graine.
En lisant ce livre des plus enrichissant, nous nous apercevons que l’utopique n’est pas l’auteur, mais malheureusement l’ensemble de notre énarchie en place aujourd’hui.
Alors tout naturellement, pour son travail de fond, nous avons récompensé ce nouvel auteur, Miguel Martinez.
Nous avons élu ce livre :
« le livre de l’année »
Son Titre :
2007, LES PRESIDENTIELLES DE LA HONTE
Son Auteur :
MIGUEL MARTINEZ
Ce livre dévoile sans retenue comment notre caste politique manie encore aujourd’hui et sans relâche des armes employées hier à la manière des traites composant la cour d’un roi :
Corruption , PerversionManipulation et Mensonge
Alors la question nous concernant est double :
- est-il encore temps de pouvoir redresser la barre ? ou bien- est-ce l’Avenir Inévitable de notre Pays ?
Notre avenir remis entre leurs mains
Les mains salies d’un gouvernement de droite ou
de gauche n’ayant qu’un seul et même programme :
- La participation à toutes affaires « juteuses »
- L’entretien de la perversion et de la corruption
- L’art de la manipulation et du mensonge
- Le maintien absolu de l’enrichissement personnel
"2007 Les Présidentielles de la Honte"
Révèle les techniques mafieuses employées en toute impunité par notre ancienne énarchie et par nos élites gouvernant encore aujourd’hui, responsables d’avoir réussi en moins de 25 ans la mise à terre par KO de notre pays. Une France vendue, bradée ou troqué selon l’intérêt …
De A à Z, les réponses, les explications... tout est dit, d’une écriture claire et sans détour;"Certainement ce que beaucoup voudraient crier fort mais ne font que penser silencieusement"
La raison de ce livre ?
"2007, Les Présidentielles de la Honte"
Miguel Martinez déclare :
Je sais... toutes les vérités ne sont pas forcément bonnes à dire !
Cependant, il arrive un moment où "trop c'est trop";Ne pas révéler certains faits portés à ma connaissance aurait été une contradiction concernant ma manière d'être et de penser;
Avant d'entrer dans le vif, je voudrais informer mes lecteurs que tous les Hommes Politiques ou les Elus ne sont pas à l'image de ceux dont je parle et heureusement pour nous; seulement soyons réaliste et décrivez-moi à ce moment précis le candidat de demain, honnête, franc, droit, capable de gérer et de sortir notre pays de l’abîme…IL Y EN A UN !Certains élus sont eux capables de s'émouvoir et de réagir; en voici la preuve …
Je remercie Monsieur le Maire de la commune de Thianges dans le département de la Nièvre de m'avoir permis de reproduire ci-dessous, dans son intégralité, l'email qu'il m'a envoyé après avoir lu mon livre :
Roger BarbierMaire de la commune de Thianges
PARTAGER VOTRE OPINION AVEC L’AUTEUR : martinezfrance@aol.com
Un commentaire des plus percutant mais certainement des plus réaliste ...
Nous avons reproduis ci-dessous la liste des chapitres que traite l’auteur, chapitres qui ne disent pas forcément que tout est perdu, mais qui doivent au moins mettre en "état d'alerte" ceux dont parlait MIGUEL MARTINEZ, un peu plus haut, ceux qui croient encore que "tout va bien" :
LA DETTE PUBLIQUE
LES FONCTIONNAIRES
LES BANLIEUES
LA TRISTE POLICE
GENDARMERIE PRIVEE
NOS REGIONS
ANALPHABETE
MAIRES DE FRANCE
MAIRE DE PARIS
SALAIRES DE NOS ELUS
DEMOCRATIE
POLYGAMIE
LES MAGISTRATS
LES DISTINCTIONS
LES NOUVEAUX SERFS 1
LES CARTES BANCAIRES
LES ASSUREURS
LES NOUVEAUX SERFS 2
L’AFFAIRE DU SENTIER
L’AFFAIRE SOCIETE GENERALE et SOROS
L’AFFAIRE VIVENDI UNIVERSAL
L’AFFAIRE DU CREDIT LYONNAIS
LES AFFAIRES DE BERNARD TAPIE
LES BANQUIERS
LES CONTRATS D’EMPLOIS BIDONS
LES PRIORITES
LA RATP
LES MEDIAS
L’ASSASSINAT DE MADAME YANN PIAT
LE SANG CONTAMINE
MAURICE PAPON
LES AFFAIRES PASQUA
LES HERITIERS
LES VACHES SACREES
L’AFFAIRE GUILLIBERT
LA CORRUPTION
UNE CENTRALE D’APPEL D’OFFRES
L’AFFAIRE URBA
UN DETOURNEMENT DE BUDGET
L’ARC ET L’AFFAIRE CROZEMARIE
LES DONS
LA COUR DES COMPTES
SCANDALEUSE SPA
INTRODUCTION A L’ELYSEE
LES MYSTERIEUSES DISPARITIONS
le suicide de René Lucet
le suicide de Pierre Bérégovoy
le suicide de François Durand De Grossouvre
le suicide du Capitaine Pierre Yves Guézou
la crise cardiaque de Roger Patrice Pelat
la crise cardiaque de Jean Edern Hallier
L’AFFAIRE ELF
SECRET DEFENSE
LA FRANC-MACONNERIE
DES CLUBS TRES PRIVES
L’IMMUNITE PRESIDENTIELLE
MONSIEUR JACQUES CHIRAC
les frais de bouche
le château de Bity
les voyages de famille
BERCY CETTE GRANDE FOLLE
MONSIEUR JACQUES CHIRAC 2
les emplois fictifs
les affaires qui hantent Jacques Chirac
LA FIN D’UN REGNE
LA PAUVRETE EN FRANCE
RELANCER L'EMPLOI
Titres évocateurs pour sujets "explosifs", non ?
Mais si la seule lecture des titres vous laisse sur votre faim, lisez ci-dessous deux extraits tirés de chapitres différents de cet ouvrage qui a pour mérite de réellement mettre « les pieds dans le plat »...
Extrait du chapitre :
LES NOUVELLES BANLIEUES
PARIS brûle-t-il ? Un très beau film connu de tous mais également une question que beaucoup se sont posée en prenant connaissance des incidents ayant touchés les abords de notre capitale et de nos villes en fin d’année 2005.
Non rassurez-vous, il ne s’agissait que d’un simple « feu de cheminée » …
« feu de cheminée » que nos forces de l’ordre ont mis malgré tout prés de 4 semaines à maîtriser.
… Le capitaine des pompiers « le petit sarko » était à coté de ses Berlutti vernis. En effet il voulait éteindre l’énorme incendie au « karcher » .
Voyant cela, les responsables des « forces » en question, non pas les enfants des cités ; les forces de l’ordre bien sûr, ceux-ci ont déclaré au « petit sarko » :
« Mais mon capitaine, c’est avec une lance à incendie qu’il faut éteindre le feu, pas avec un karcher. »
Et nous pourrions ajouter à cela :
« pour mettre le feu à une banlieue, rien de plus simple, quelques meneurs bien rétribués issus de la crapulerie à la botte d’une élite connue, quelques CRS au cerveau englué, des bombes lacrymogène, un peu de matraques et des lionceaux à la casquette retournée prés à tous pour passer à la TV. Ne pas oublier un bon nombre d’automobiles en stationnement et quelques litres d’essence…Et laissez agir »
Avouez également que ce scénario est plus que plausible, une simple question de voir grimper des sondages favorables pour tel ou tel personnage politique des plus ambitieux , tout est bon pour faire parler d’eux .
Ces gens manœuvrent la manipulation comme personne ; allez me dire qui mis l’affaire « Clearstream » au grand jour : Nainbus la dite triste victime capable de tous, l’ingénieux roublard athlétique dit le commanditaire, le triste affreux corbeau, les services secrets à la botte de Grand Mère, le général sans étoile, le parrain châtelain et son épouse la collectionneuse de pièces de monnaie. « Qui saura » disais un chanteur connu, finissant ces jours par un saut mémorable de la fenêtre de son appartement. Et bien croyez-moi dans cette affaire, les acteurs ou témoins dits dépressifs n’ont pas fini de faire des chutes de leur balcon sans pour autant faire la une des journaux… Les services secrets ont un sale défaut, ils sont souvent trop secret, mais il faut faire avec.
Après ce clin d’œil à la saga de l’été réalisée et interprétée avouons le par des acteurs plus que bidons ,nous ne pouvons que constater la naissance réelle d’une situation dite précédemment explosive…A SUIVRE
Extrait du chapitre :
LES DISTINCTIONS
…Mais ce qui est surprenant c’est que chacun d’eux marche à la même vitesse, dans une direction différente certes mais c’est parti, la course au trône est ouverte, telle une course de chars antiques un peu compliquée puisque devant sauter des obstacles au risque de briser les roues de l’engin mais ou le conducteur est prêt à tout pour remporter le trophée sous les yeux de l’empereur « Jacques 1er le détrousseur » ayant dans ce char aux couleurs pourpre son préféré, le grand « domino » dit le Roublard qui comme chacun le sait n’a pas droit à l’erreur et pourtant cet énarque de vieille famille collectionneur assidu de « conneries » intarissables allant du record des 100 Jours « foirés » au contrat d’emploi des plus bidons en passant par le lourd maniement de l’OPE contre l’ OPA en revenant au lever-jeter du Capitalisme Français …enfin rien ne lui échappe, un vrai phénoméne politique des plus laqué . Seul ou avec son empereur lui aussi fonce droit dans le mur à vitesse grand V sous le regard ébahi mais néanmoins attendrissant de la ronde et grassouillette « Martine » héritière « de l’or » qui avouons le n’est plus une rose fraîche ni même une perle au bris …
… L’autre conducteur c’est « nico » dit le petit trou, depuis quelques temps paraîtrait éloigné, comme faisant campagne sur un gros nuage, mais le malheureux ces chevaux se sont emballés sous un jet de bombe lacrymogène appuyé d’un lancer de matraques en caoutchouc et d’applaudissements incontrôlés d’un chapelet de crétins tous vêtus de bleu et recouvert d’un calot laissant apparaître de très belles feuilles de choux piquées par la vermine, ce qui semble ravir « chaudronette » l’épouse de l’empereur qui elle a décidée coûte que coûte de remettre au vainqueur un énorme sac frappé d’armoiries étranges et rempli de pièces jaunies d’une monnaie disparue depuis bien longtemps … mais rien n’est joué, les deux concurrents ont du ressort, ils donnent l’impression d’ailleurs de se connaître depuis l’enfance et c’est vrai que rien n’a changé, pas même ces petits cerveaux englués d’une salive paralysante les empêchant de toute réflexion censée, toutefois attention ils ne devront surtout pas oublier de maintenir une conduite digne d’un véritable seigneur, l’empereur « Jacques 1er le détrousseur » est encore capable avec l’aide quelques élites de l’ombre de sauter à pieds joints dans une charrette remplie de fonctionnaires congédiés et peu importe les couleurs du drapeau, il pourrait regagner le grand cirque et prendre part à la course.
En attendant le résultat de ce duel impitoyable, il est une chose certaine, ils s’en foutrent royalement nos coureurs de chars d’aller remettre la distinction à Pierre, Paul ou Jacques. Ce qu’il faut c’est se montrer et surtout ne pas paraître plus petit l’un que l’autre, sachant que de toutes façons ils n’ont que la hauteur d’une petite élite sans aucune grandeur.
Alors oui, comme je le disais tout à l’heure, faisons-nous mousser grand ou petit, chacun a droit à son quart d’heure de grandeur et apprenons à marcher d’un pas long et majestueux accompagné d’un bras ferme, la main droite et les doigts tendus et profitons de ces moments destinés à l’enseignement délicat de l’élégance de style.
…Seulement durant ce temps nos marionnettes ont commis une bourde, elles ont oubliées de décorer un ancien combattant de la guerre 14-18. Et juste avant son décès, soit 80 ans plus tard environ, ces guignols de l’intox remettent à ce valeureux combattant la « légion d’honneur » .
…Presque à titre posthume.
Que pouvons-nous répondre à cela …A SUIVRE
Extrait du chapitre :
LE CHATEAU DE BITY
Des repas gargantuesques donnés dans un château du XVI éme Siécle entouré de terres fertiles et de forêts giboyeuses à perte de vue, Dame Frénégonde …Tout cela nous rappelle un film comique relatant des personnages traversant les couloirs du temps :
« les visiteurs »
…Jean Réno imprégné dans son rôle de chevalier était des plus convaincant apportant une touche de bouffonnerie à ce grand costaud venu d’un autre monde mais il ne faudra pas oublier la complémentarité de cet autre personnage au service de son maître, le fourbe mais pas moins adroit valet détroussant sur son chemin tout ce qui pour lui représentait un début de trésor, il se nommait :
« jacquouille la fripouille »
… Et bien après de longues recherches, nous avons trouvé la réplique exacte de ce château dans le département de la Corrèze, le Château de Bity sur la commune de Sarran, là le châtelain n’est pas chevalier, il est président de la République et il s’agit tout naturellement de Monsieur Jacques Chirac. Mais Monsieur Chirac aurait-il des descendances avec l’un de nos personnages ?
…C’est assez difficile de répondre à ce genre de question puisque Monsieur Chirac est un grand costaud également, mais fait troublant il se prénomme « Jacques » comme notre « Jacouille la fripouille » le détrousseur de trésor … le malin. Je pense qu’il serait bon de vérifier cette analogie.
…Bref, famille ou pas famille, frère ou pas frère, descendance ou pas descendance, Monsieur Jacques Chirac deviendra propriétaire de cette demeure en 1969 à un prix digne d’un coup de maître ne pouvant résulter que d’un noble seigneur… des plus malins puisque la vente aurait été réalisée sur la base de 10 000 € 00.
Dans les quelques mois qui suivront, ce château se verra classé monument historique comme par enchantement grâce à la baguette magique du Ministre de la culture de l’époque permettant ainsi au châtelain Monsieur Jacques Chirac de toucher des subventions publiques à hauteur de 15 000 € 00 afin d’effectuer la rénovation des lieux … C’est ce que l’on peut appeler une sacrée gestion de patrimoine allant à l’encontre d’une France en péril, mais à l’époque de l’acquisition de ce bien, notre bon maître Monsieur Jacques Chirac aurait trouvé la surface des terres composant sa propriété légèrement insuffisante et comme par hasard dans un même temps, un terrain de 5 Hectares jouxtant sa propriété devait être vendu à une colonie de vacances…A que ni ni, cette vente aurait pu venir perturber le calme de toute une noble famille. Toujours est-il qu’à ce moment, il serait passer une idée des plus « charitable » dans la tête de Monsieur Chirac …
Durant ces années d’apprentissage, Monsieur Jacques Chirac occupait alors les fonctions de Trésorier de la Fondation Pompidou, l’idée venue germer était celle de faire acquérir à un prix faramineux ce terrain de 5 hectares non constructible mais voisin de son château en Corrèze par la fondation Pompidou… pour y réaliser un centre de vacances pour personnes âgées aurait-il déclaré aux membres de la Fondation, ce qui humainement ressortait bien plus crédible que l’acquisition d’une terre vouée à une extension d’un domaine fait pour ressourcer une famille soit-elle présidentiable. Alors « Incharitablement » ( mot nouveau mais toujours inconnu dans notre vocabulaire) de ce fait il démontait le projet d’installation d’une colonie de vacances fait pour le bien être d’une multitude d’enfants….A SUIVRE
En lisant ces deux extraits de l’ouvrage de MIGUEL MARTINEZ, nous comprenons de quelle manière notre pays est devenu Malade :
-Malade d’avoir été et d’être gouverné par des politiciens incapables de gérer un simple budget familial
-Malade de devoir supporter une corruption grandissante depuis les 25 dernières années
-Malade de devoir faire face à une intégration refusant « l’allaitement » en confondant éducation et religion, développant ainsi un fanatisme sans nom
-Malade d’être représenté comme le passage de la clandestinité et le nid du terrorisme aux yeux de nos voisins européens
-Malade de ces lois taillées sur mesure et de cette justice borgne, sourde et aux ordres
-Malade car triste de constater que la pauvreté d’hier nourrit par quelques clochards "volontaires" devient aujourd’hui un énorme fléau accouchant d’une véritable misère
-Malade car affaibli par cette situation de pompage permanent et de paralysie coutumière qu’ont bien voulu entretenir nos fonctionnaires et syndicats
-Malade car honteux de tous ces chiffres truqués attribués à la dette publique de l’état, des faux chiffres du chômage et des hallucinants chiffres de la pauvreté…
Pour résumer :
MIGUEL MARTINEZ
Auteur
de
"2007 Les Présidentielles de la Honte"
Sur prés de 550 PAGES, l’auteur ne parle que de choses qui fâchent en relatant les affaires à scandales afin d’éviter que ce fléau ne subsiste, démontrant à nos politiciens qu’avec un peu de bon sens et beaucoup d’honnêteté, la nation peut être remise sur les rails, et la machine de l’emploi très vite réamorcée. Alors souhaitons qu’un comité de censure n’interviendra pas pour interdire la diffusion de ce livre au langage très cru…Mais tellement d’actualité.
BEAUCOUP DE REFORME DANS CET OUVRAGE ?
C'est évident, par exemple, lorsque calcul à l'appui, MIGUEL MARTINEZ dit que pour se sortir de la situation dans laquelle nous sommes, il faut travailler plus pour gagner plus, rétablir la semaine de 40 heures de travail pour améliorer son train de vie ...Un pied de nez aux 35 Heures et à l’ensemble des syndicats ; et toujours chiffres à l’appui il explique comment procéder à une exonération de charges pour relancer massivement l’emploi sans gruger les caisses de l’état.
Il aborde les différentes révélations et les diverses affaires sur un ton le plus souvent ironique pour "dédramatiser" la Vérité, mais un large éventail de constatations subtiles est à retenir sur lesquelles il faut réfléchir pour protéger notre avenir et celui de nos enfants.
Bravo, l’auteur est très fort !
COMMENTAIRES : prés de 550 pages de lecture intense, un livre à lire Absolument !
Nombre d’étoiles : *** Prix de l’ouvrage : 23,00 € ttc
BIENTOT EN VENTE DANS TOUTES LES LIBRAIRIES
Bravo, vous tenez vos promesses en allant jusqu’à faire des propositions plus que constructives !
Un bel exemple que nombreux de nos politiciens feraient bien de suivre. Mais attentiontous les thèmes traités ne m'ont pas forcément plu (politiquement s'entend), mais force est de constater qu'ils m'ont remis en mémoire également quelques "bons scandales" oubliés à tort avec le temps, fait découvrir de nouveaux points chauds et, note d'espoir, rappeler qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire.
Cordialement,Roger Barbier.
Les faits que je décris dans ce livre font le constat de l'état affligeant dans lequel se trouve notre pays;
Voici quelques exemples :
- Tous les délits commis par nos politiciens et affairistes
- Toutes les implications d’élites parmi les plus connues
- Toutes les manœuvres des manipulateurs de l’ombre
- Tout l’héritage empoisonné légué par notre gouvernement moribond
- Tout sur la situation aggravée d’une misère grandissante
- Tout sur la réduction volontaire du pouvoir d’achat...
L'extraordinaire, c'est qu'il y a une frange de gens qui pensent encore que "tout va bien"
Ils ne donnent pas l'impression de voir, ou bien font-ils semblant ? Ignorant qu’aujourd’hui, 25 années d’anarchie politico-financière ont donné naissance à un nouveau monde…
Oui, au quotidien, cet univers est devenu un véritable volcan.Volcan dont les dernières éruptions remontent de mémoire à 1936 et 1968;
Volcan "éteint" pourraient affirmer nos énarques médiatisés Messieurs Sarkozy et De villepin, mais pourtant un léger soubresaut s’est fait ressentir à la fin de l’année 2005;Ohhh, rien de grave ! seulement quelques traces de lave venues lécher les pieds des banlieues de nos grandes métropoles;
Mais plus les mois passent et plus la magnitude devient sensible sur l’échelle de Richter... et bien plus marquante encore sur les marches de l’Elysée » .