Chers camarades,
Je suis candidat à la tête de liste pour les élections européennes, dans la circonscription de l’Ouest, pour faire gagner le « Front de gauche », pour contribuer avec tous les comités du PG au progrès de notre parti dans les trois régions de l’Ouest.
Mon combat pour une autre Europe ne date pas d’aujourd’hui, mes attaches à l’ouest ont, comme moi, 52 ans. Je suis briochin de naissance (Saint-Brieuc, Côtes d’Armor) et toute la branche maternelle de ma famille est bretonne.
Je serai bref sur mes attaches régionales, car l’essentiel me semble résider dans ma capacité à porter notre projet pour une autre Europe.
Mon combat pour une autre Europe a pris une tournure nationale et médiatique en 2004-2005. Alors membre du Conseil national du PS, j’ai annoncé dès l’automne 2004 que je ferais campagne pour le « non » au traité constitutionnel, et j’ai tenu ma parole après le choix du « oui » par le PS. J’ai, notamment aux côtés de Marc Dolez et Gérard Filoche, fait un tour de France du « non » socialiste et participé aussi à des meetings unitaires avec les autres forces du « non de gauche » (une centaine de réunions publiques de février à mai 2005). Dans le même temps, j’ai participé à des dizaines de débats à la radio et à la télévision et publié au Seuil l’un des best-sellers de la campagne du « non » (Manuel critique du parfait Européen. Les bonnes raisons de dire non à
Pour conduire la liste du front de gauche, je ne suis assurément pas plus légitime que des dizaines d’élus et militants qui, depuis des années, mènent les mêmes combats que les miens dans la grande circonscription de l’Ouest. J’espère seulement que ma notoriété d’économiste de gauche, d’ancien dirigeant de la gauche du PS et de militant du « non » de gauche nous aidera à gagner des points tous ensemble. Dans cette circonscription, si l’on rapporte le score du PC au nombre de points du dernier élu en 2004, il faut progresser d’au moins 3,56 points. C’est de ce point de vue la circonscription la plus difficile derrière celle du Centre. Il faut donc, je crois, combiner une campagne de terrain intense et une visibilité nationale de la tête de liste ; associer le contact direct avec les électeurs et le débat national dans les médias, comme je l’ai déjà fait en 2005. Je suis entièrement disponible pour la campagne de terrain (j’ai concentré tous mes cours à Sciences Po au premier semestre pour disposer pleinement de mon emploi du temps au second)
Nous n’allons pas à cette bataille, et je n’irai pas moi-même, pour témoigner, mais pour gagner. Je suis déterminé à me battre avec vous pour aller chercher les voix, jour après jour. Avec le front de gauche nous avons la ligne qui peut gagner. Ensemble nous pouvons le faire. Je mets toute mon énergie et ma détermination à votre disposition.
Nos routes se sont souvant croisées ,au sein de la gauche . Délégué du "nouveau monde" au congrés de Dijon ,engagé dans le Non de gauche (plutot que socialiste),membre des amis du monde diplomatique de Brest, je suis devenu naturelement président de PRS a sa création au cours du rassemblement de Arles ,en 2005 .Depuis ,Mélenchon en prenant des positions radicalement contre les cultures régionales (tout particuliérement la langue Bretonne) ,ma rendu la vie difficile auprés de nos camarades socialistes .Le fonctionnement de PRS ,puis l'aliance avec les communistes ,ont fondé notre opignion et nous a éloigné du Parti de Gauche .Nous (PRS 29 ,une seule défection au sein du groupe ,Ali Azzala,actuel président du parti de gauche) avons créer la dynamique de la "Fédération" (le secrétaire et trésorier de la fédé 29 sont de PRS) .Nous travaillons à la construction de ces structures et somme en liaison avec des militantS de PRS au niveau nationale ;Je serais heureux de t'apporté mon aide dans ta campagne dans l'ouest ,plus particuliérement le Finistére .Les camarades de la fédération ne demandes qu'a être convaicu ,et se réunirons certainement autour de toi .
Alain Paugam
Kervoa
29430 Plouescat 02 98 19 49 96
Bur 02 98 30 37 45
alain.paugam@developpement-durable.gouv.fr